Et si c’était précisément la fierté et le
sentiment d’appartenance des contribuables québécois à l’égard de Bombardier
qui, trahis par la décision de ses dirigeants à l’égard de leur rémunération, expliquait
la grogne qui s’exprime depuis plusieurs semaines.
Ça ne serait pas au Québec « de prendre
grand soin de Bombardier » 1 comme l’affirme le premier
ministre Philippe Couillard ni au « Québec de se réconcilier » 2
avec l’entreprise comme le demande Pierre Beaudoin, président du conseil
d'administration, mais bien aux dirigeants de Bombardier dans les deux
cas.
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